Les univers de bpost
Je suis plus que jamais fier de mon job
La crise actuelle a fait apparaître plus clairement encore le rôle essentiel qu’assume bpost au sein de notre société. Plus de 34 000 collaborateurs - du trieur au distributeur de courrier - veillent chaque jour à ce qu’une lettre, un colis ou une petite carte attentionnée nous rende la vie un peu plus pratique, plus chaleureuse ou plus agréable. Facteur, Keanu (26) incarne mieux que quiconque l’enthousiasme et l’engagement des collaborateurs de bpost. « Je suis plus que jamais fier de mon job. Postuler chez bpost a été une des meilleures décisions de ma vie », ajoute notre enthousiaste facteur.
Keanu a en effet délaissé il y a un an et demi le chantier de construction pour le vélo électrique et la voiture postale. « Le fait de se lever tôt dans la construction ne me dérangeait pas trop, mais le travail jusque tard en soirée commençait à peser sur ma vie privée. J’avais besoin d’un nouveau défi », se rappelle-t-il. Keanu a appris via un dépliant de recrutement que bpost cherchait des collègues motivés. « Même si je ne voulais pas laisser tomber mon diplôme, la description de fonction m’a tout de suite attiré. J’apprécie le contact social et j’aime être à l’air libre. J’ai tenté ma chance et je me suis rendu à l’entretien d’embauche ».
Instinct confirmé
Après une courte formation théorique et trois journées de stage, Keanu effectuait déjà ses premières tournées postales. Il s’est directement senti dans son élément. « Les trois premiers jours ont confirmé mes pensées instinctives : l’ambiance de travail agréable, la collégialité, le contact avec les gens, l’air sain à l’extérieur… Je crois qu’il n’y a pas beaucoup de métiers qui combinent avec autant de bonheur ces atouts », analyse notre affable jeune homme. Après un mois passé dans différents services, bpost proposait déjà un contrat fixe à Keanu. Il n’a pas hésité une seule seconde.
Variété et respect
Keanu travaille aujourd’hui comme remplaçant sur neuf services. « Un jour, je distribue par exemple des lettres et des imprimés publicitaires à vélo électrique dans Wetteren et le lendemain, j’effectue un service journaux avec la voiture postale à Kalken, ou je combine les deux activités à Schellebelle. Cela assure l’alternance nécessaire : je rencontre chaque fois d’autres personnes et j’arpente d’autres paysages », ajoute Keanu. Il confirme l’image du facteur aimé de la population. « Au cours de la crise du coronavirus, cette appréciation n’a fait qu’augmenter. En tant que facteur, vous sentez vraiment que vous êtes un élément de liaison. Que ce soit via une petite carte, une lettre ou un colis, vous rapprochez les gens, même dans ces périodes de distanciation physique. Les gens en sont bien conscients eux aussi. Le respect et les encouragements qu’ils m’adressent en tournée me boostent encore plus ».
Plus de temps libre, un beau package salarial
Un service ordinaire débute pour Keanu à 6h45 par le tri des bacs postaux et des imprimés publicitaires. La tournée des journaux commence nettement plus tôt. Quand il doit s’en charger, Keanu est déjà en route à 4h15 ou 4h40. « Le facteur est un travailleur du matin, ça va de soi. Plus on commence tôt, plus on a de temps libre l’après-midi. En tant qu’adepte du fitness – je m’entraîne de huit à dix heures par semaine – je dispose maintenant de tout le temps nécessaire pour exercer mon hobby. À cela s’ajoute un package salarial intéressant, complété par des chèques-repas ».
Le soleil matinal comme compagnon de route
Ce qui plait le plus à Keanu, ce sont les journées ensoleillées passées sur son vélo électrique. « En bermuda, avec le soleil du matin comme compagnon de route, glisser les lettres dans la boîte : c’est un privilège. Lorsque les journées sont froides, il faut mordre sur sa chique, mais bon, on n’a pas trop à se plaindre non plus (rires). Chaque boulot a ses mauvais côtés. En tant que facteur, on est son propre pilote, au propre comme au figuré. Si on met les bouchées doubles, on termine sa tournée plus tôt. On peut aussi s’arrêter en route et en profiter pour manger ses tartines sur un banc. Cette liberté, c’est un beau bonus ».
Fierté professionnelle
bpost est constamment à la recherche de facteurs qui, comme Keanu, souhaitent exercer un métier stimulant offrant des contacts sociaux. « Qu’est-ce qu’un collègue idéal pour moi ? », s’exclame-t-il. « En tout cas, quelqu’un qui n’a pas peur que le réveil sonne tôt (rires). Il faut aimer le contact avec les gens et se retrouver à l’extérieur. Cela ne peut pas être quelqu'un de négligent, étant donné qu’une bonne organisation constitue déjà une moitié du travail. J’estime important de veiller lors des jours de pluie à ce que les lettres arrivent intactes dans les boîtes aux lettres. Ce n’est agréable pour personne de devoir lire du courrier tout fripé. Une certaine fierté professionnelle est donc de mise. En ces temps particuliers et moins évidents, c’est même encore plus recommandé que d’habitude. Puis il y a encore un critère personnel : si après la crise du coronavirus, vous aimez encore rester un peu le vendredi à discuter, pour moi, vous gagnerez des points ! »