La collégialité comme ciment social : “Rester en raison de collègues sympas !”

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Livreur de colis
Livreur de colis

La collégialité comme ciment social : “Rester en raison de collègues sympas !”

Après une courte recherche dans chez bpost sur le site Philips à Louvain, nous avons trouvé Charlotte. C’est ici qu’elle travaille actuellement. Nous sommes gentiment invités à nous installer à une table entre les casiers et les bacs contenant des articles postaux pour faire un brin de causette avec elle.

 

Charlotte, comment avez-vous atterri ici ?

Charlotte Sijmens : “Avant d’arriver ici, j’ai travaillé comme professeur d’éducation physique dans des écoles maternelles et primaires. Mais quand on commence, on n’a que quelques heures. Je passais plus de temps à faire la navette entre les différentes écoles qu’à faire mon boulot ! Il y a deux ans, je suis venue ici pour postuler à un emploi de livreur de colis.”

“Pendant le coronavirus, les colis envoyés étaient si nombreux que l’équipe permanente ne parvenait plus à suivre, et le management a donc lancé une ‘second wave’. Il s’agissait d’une équipe supplémentaire, à partir de 12 ou 13 heures, qui était chargée de distribuer environ 90 colis. J’ai vu l’offre d’emploi pour un job de livreur de colis et c’était tout près de chez moi : ma maman habite dans le coin. Et comme le courant est directement passé avec mes collègues, j’ai décidé de rester (rire).”

 

La livraison de colis pour bpost, c’est votre truc ?

Charlotte : “Les premiers jours, c’était un peu compliqué. Mais j’ai rencontré quelqu’un que je connaissais déjà et très vite, j’ai commencé à discuter avec les collègues. Et j’ai eu de la chance : nous avions un très bon chef d’équipe qui était toujours là pour nous ! Par exemple, s’il y avait des plaintes, il venait nous demander comment ça allait d’une manière très amicale. Ou si vous aviez un problème avec votre GSM ou scanner ‘Mobi’, il était toujours le premier à vous aider.”

“J’étais seule dans ma voiture, mais je n’étais jamais vraiment seule : je pouvais toujours compter sur lui !”
Pakjesbezorger

 

Depuis, vous avez rejoint l’équipe fixe des facteurs. Un choix réfléchi ?

Charlotte : “Non, pas vraiment. Lorsque la ‘second wave’ s’est achevée à la fin du mois de décembre, j’ai eu l’occasion de rejoindre l’équipe fixe de distribution des colis et du courrier. Là, j’ai commencé à travailler dans l’équipe du matin : ma première tournée était à 6 heures, la deuxième pour laquelle on m’a formée était une tournée de distribution des journaux à 5 heures du matin.”

 

‘Formée’ ?

Charlotte: “Lorsque vous débutez comme facteur chez bpost, vous commencez par suivre un programme de formation de dix jours : d’abord trois jours à l’école de la poste, puis sept jours en compagnie d’un collègue qui vous explique tout. À l’école de la poste, vous suivez de vrais cours et on vous explique, par exemple, la liste des journaux ou ce qu’il faut faire avec les envois recommandés. Ensuite, vous suivez également une sorte de formation à la conduite pour vous assurer que votre style de conduite est adapté, y compris pour les fourgons plus grands. Par la suite, chaque fois que l’on vous assigne une nouvelle tournée, vous avez droit à deux nouvelles journées de formation.”

“Lorsque vous débutez comme facteur, vous commencez par suivre un programme de formation”
Pakjesbezorger

 

“En plus de cette formation, les mardis et jeudis, nous avons ce que l’on appelle les ‘five minutes’ : une brève mise à jour au cours de laquelle on revoit, par exemple, les règles de sécurité concernant les masques buccaux ou les chaussures de sécurité.”

 

Y avait-il des choses auxquelles vous n’étiez pas préparée ?

Charlotte : “Le réveil matinal est difficile au début. La première tournée de distribution de journaux dans l’obscurité, par exemple : il faut regarder les journaux, trouver les boîtes aux lettres et les numéros de maison, reculer un peu de temps en temps…”

“Lors d’une de mes tournées fixes, je peux dire à quoi ressemble la boîte aux lettres de telle ou telle maison !”
Pakjesbezorger

 

“Le travail présente aussi de nombreux avantages : je peux aller faire du shopping ou emmener les chiens dans les bois à des moments où il n’y a personne. Et un autre avantage qui n’a pas de prix : ici, on peut vraiment être soi-même.”

 

Et pour conclure , un conseil pour ceux qui voudraient commencer ici ?

Charlotte : “Ne soyez pas trop ‘sévère’ envers vous-même : au début, vous allez jurer de temps en temps et parfois, quelque chose va aller de travers, comme un pneu crevé par exemple. Mais vous apprendrez vite à tirer votre plan et les chefs d’équipe et les collègues seront toujours là pour vous aider !”

 

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